Le Papier d’Arménie représente une certaine idée de l’art de vivre, empreinte de bon goût et forte de ses convictions, qu’elles soient hygiéniques ou écologiques. Depuis plus de 120 ans les utilisateurs qui emploient le Papier d’Arménie ont favorisé l’épanouissement de cet esprit et de ce respect.
Il a été créé en 1885 par un chimiste français, après un voyage en Arménie, d’où son nom.
La formule est restée inchangée depuis.
Le papier d’Arménie est un papier parfumé à la résine de benjoin du Laos. Il se présente généralement sous la forme d’un carnet composé de trente-six lamelles prédécoupées, soit douze feuilles de trois divisions.
Il s’utilise en brûlant une lamelle détachable à la fois, préalablement pliée en accordéon, et déposée dans un support résistant à la chaleur. Le papier ne doit pas s’enflammer, mais rester incandescent. La lamelle consumée lentement dégage une odeur de benjoin et de vanille caractéristique. Cette odeur avait la réputation de purifier et d’assainir l’air